Les conditions d’emprunts immobiliers sont encore bonnes en ce début d’année à l’image des taux d’intérêt qui reculent encore. Cela ouvre de nouvelles opportunités pour les emprunteurs immobiliers. Cependant, comment en bénéficier ?
CID vous informe de l'actualité financière du moment, en vous proposant d'aborder des thématiques diverses et variées dans le domaine de la finance : le crédit immobilier, le crédit à la consommation, le rachat de crédits, les assurances, les services de banques en ligne, les services innovants dans l'univers de l'économie et de la finance. Nos rédacteurs vous proposent également des points complets sur les nouvelles législations, sur votre pouvoir d'achat ou encore sur la situation des ménages en France.
Les conditions d’emprunts immobiliers sont encore bonnes en ce début d’année à l’image des taux d’intérêt qui reculent encore. Cela ouvre de nouvelles opportunités pour les emprunteurs immobiliers. Cependant, comment en bénéficier ?
Il est possible de recourir à un rachat de crédit immobilier et de préserver son plan épargne logement sans changer de banque.
Solliciter un intermédiaire bancaire ou une banque dans un autre pays de l’union Européenne (Allemagne, Espagne, Angleterre…) pour financer l’acquisition d’un logement en France. Cela pourrait être une réalité d’ici quelques mois.
Certes depuis la rentrée 2015, les demandes de regroupement de crédits s’estompent, notamment à cause des légères remontées des taux observées à l’automne, mais force est de constater que ce début d’année est marqué par le retour des conditions favorables pour cette opération bancaire.
Selon les intermédiaires bancaires, les taux d’intérêt des prêts immobiliers sont revenus à leurs plus bas niveaux de mai 2015. Sur 20 ans, ils passent sous ce qui était alors un record. Une aubaine pour emprunter davantage ou faire racheter ses encours.
En 2015, plus de 50 % des crédits immobiliers (y compris le rachat de prêts) ont été accordés par l’intermédiaire d’un professionnel (courtier, MOBSP, MIOBSP…). Son principal objectif consiste à proposer à ses clients les meilleures conditions en vigueur.
La plus haute juridiction Française a changé sa jurisprudence concernant les incidents de remboursement. Désormais, seules les mensualités impayées depuis plus de 2 ans ne peuvent plus être exigées par le prêteur.
Certes, le nombre de demandes de prêt immobilier n’a rien de comparable avec l’afflux observé au premier semestre 2015, mais les principales banques perçoivent à nouveau une progression du nombre de demandes de financement en ce début d’année.
L’escroquerie au crédit, particulièrement au regroupement de prêts, est de loin l’une des mésaventures qui se propagent fortement auprès des emprunteurs. Pourtant, il existe des moyens pour ne pas se faire piéger.
Bien que les conditions actuelles de financement aient profité à tous les types de financements (crédit, regroupement de prêts), les intermédiaires bancaires confirment que certains projets sortent du lot avec des taux d’intérêt exceptionnellement bas.
Certes, le marché du crédit connait une embellie avec 200 milliards de prêts immobiliers versés en 2015, mais force est de constater que le taux de détention de crédit des ménages baisse. Cependant, à qui profite réellement cette embellie ?
Avec la nouvelle tendance baissière des taux, des nombreux emprunteurs peuvent désormais prétendre au regroupement de crédit. Voici quelques conseils pour obtenir sereinement un financement adapté à son profil emprunteur.
Avec des conditions d’emprunt très attractives et une concurrence interbancaire de plus en plus rude, le prêt immobilier est très intéressant en ce début d’année et le regroupement de crédit a le vent en poupe. Cependant, avec le retour de l’inflation, les taux pourraient augmenter d’ici la fin de l’année.
Le mois dernier, les taux d’intérêt ont encore baissé. Les Français se sont endettés à 2,15 % en moyenne. Les chiffres montrent aussi que le marché du prêt immobilier et le rachat de crédit ont battu tous les records en 2015.
Pour la première fois depuis la fin de la crise de 2008, le nombre des crédits à la consommation enregistre une hausse. A ce jour, 26 % des Français détiennent ce type de financement et la plupart sont des emprunteurs séniors.