CID vous informe de l'actualité financière du moment, en vous proposant d'aborder des thématiques diverses et variées dans le domaine de la finance : le crédit immobilier, le crédit à la consommation, le rachat de crédits, les assurances,  les services de banques en ligne, les services innovants dans l'univers de l'économie et de la finance. Nos rédacteurs vous proposent également des points complets sur les nouvelles législations, sur votre pouvoir d'achat ou encore sur la situation des ménages en France.

Etre client dans plusieurs banques implique de passer plus de temps pour consulter l’ensemble de ses comptes. Les applications d’agrégation répondent à cette problématique en proposant de réunir les comptes au sein d’une unique interface.

Pour la première fois depuis novembre 2015, les taux t’intérêt des crédits immobiliers se stabilisent dans la plupart des régions. Toutefois, si l’amplitude de la baisse se modère, les barèmes restent encore très bas et les banques accordent encore des conditions attractives aux emprunteurs souhaitant faire un rachat de crédit immobilier.

La baisse des taux des crédits immobiliers profite au secteur. Les investisseurs se tournent davantage vers ce marché et se désintéressent de l’assurance-vie qui voit ses rendements faiblir.

Selon les récentes statistiques de la Banque de France, le volume des opérations de rachat de crédit a atteint 11,48 milliards d’euros en août 2016, dépassant ainsi les 11,25 milliards d’euros constatés en un an plutôt.

Le Comité de Bâle propose d’exiger davantage de fonds propres de la part des banques. Ces dernières estiment qu’une telle hausse pèserait sur les économies nationales, notamment en Europe. Cependant des compromis sont envisageables.

Avec 1,41 % (hors assurance) en moyenne, les taux d’intérêt actuels des prêts immobiliers ouvrent de nouvelles opportunités de faire racheter ou renégocier son financement à l’habitat une seconde ou troisième fois. Est-ce que c’est possible ? Qui peut re-renégocier ou faire racheter son crédit une deuxième fois ?

En réponse à leur baisse de revenus, les banques françaises facturent davantage certains services. Ainsi, les frais de compte, les retraits hors réseaux et les cartes de paiement coûteront plus cher, annuellement, à chaque client.

En septembre, les taux d’intérêt des crédits immobiliers ont encore reculé et les emprunteurs se sont endettés à 1,41 % en moyenne, soit un nouveau record. Toutefois, depuis le début du mois d’octobre, les observateurs constatent peu d’évolution des barèmes de la part des banques, laissant ainsi penser à une stabilisation.