Afin de mettre en œuvre ses projets, il est courant de se permettre parfois d’obtenir de financements auprès de divers partenaires financiers. Mais au bout de quelques années, l’on se rend compte que les mensualités deviennent, de jour en jour, une importante charge. Comment en finir avec ? Le regroupement de crédit Belgique est l’ultime moyen pour amoindrir ces charges financières importantes. Mais avant de s’engager dans une telle aventure, il est crucial de s’informer. Apprenez ici plus sur cette pratique en vogue en Belgique.
En quoi le regroupement de crédit Belgique est-il utile ?
Regrouper ses dettes en une seule et unique dette permet à l’emprunteur d’optimiser ses finances.
Une mensualité unique, baissée et adaptée au budget de l’emprunteur
La multiplicité des dettes à rembourser fait que chaque mois, l’on fait face à plusieurs mensualités. Cela crée un déséquilibre dans la gestion des finances. Pour pallier cela, demander un regroupement de crédit Belgique est une bonne option. L’opération est très simple : un organisme financier rembourse toutes les dettes en cours et devient, à son tour, créancier du coût occasionné par le remboursement effectué. Bien entendu, le règlement des mensualités se poursuivra, mais cette fois-ci, avec le nouvel organisme payeur. La mensualité à honorer devient alors unique. Puis, selon les besoins de l’emprunteur, elle est réduite.
Un taux d’intérêt plus bas
Les taux d’intérêt applicables au regroupement de crédit Belgique sont les taux en vigueur et pratiqués sur le marché. L’avantage ici est que ces taux sont généralement plus bas que ceux appliqués aux crédits jusque-là. Par ailleurs, le souscripteur de rachat de crédit Belgique a le choix du type de taux à appliquer à son emprunt. Il peut, par exemple, préférer un taux d’intérêt fixe à un taux d’intérêt variable selon le marché. Une autre option est de choisir un taux d’intérêt mixte. Dans ce dernier cas, et le taux fixe et le taux variable seront appliqués au crédit. Contrairement au taux variable et au taux mixte, le taux d’intérêt fixe ne connaît pas de changement tout au long du contrat.
L’objectif, c’est d’alléger à l’emprunteur cette grosse charge financière qui pèse sur lui depuis nombre d’années et de lui éviter le surendettement. C’est pour cette raison qu’il est recommandé de s’assurer de la rentabilité du projet avant de s’y lancer. La différence entre le taux d’intérêt des crédits en cours et celui à obtenir sur le regroupement de crédit Belgique est un facteur déterminant dans la réalisation du projet. Elle doit être plus faible d’au moins 1 %. De plus amples informations sur l’utilité du rachat de crédit sont à découvrir ici.
Conditions d’octroi de restructuration de dette Belgique et raisons d’être
Demander un regroupement de crédit Belgique est la chose la plus simple que tout le monde peut faire. Mais voir sa demande acceptée est peut-être ce qu’il y a de plus complexe. Car les organismes financiers fixent un certain nombre de critères afin de limiter certains désagréments.
Qui peut bénéficier d’une restructuration de dette Belgique ?
Le rachat de crédit Belgique est accordé à tout souscripteur remplissant les conditions ci-après :
- être majeur (18 ans révolus) ;
- avoir des emprunts en cours ;
- être propriétaire d’un bien immobilier situé sur le territoire belge ;
- résider en Belgique ;
- ne pas être banni par la Banque Nationale de Belgique ;
- avoir de revenus stables et adaptés au crédit sollicité.
Quelles sont les raisons qui motivent ces limitations ?
Les raisons d’être des conditions d’octroi de regroupement de crédit Belgique sont diverses et variées.
Primo, les limitations mises en place rassurent l’organisme prêteur du remboursement de sa créance au terme du contrat. Il est convaincu que l’emprunteur est sérieux et qu’il serait bon de collaborer avec lui. Le critère de l’âge en est l’illustration parfaite. Il sera difficile, voire impossible, par exemple, pour un sénior de 90 ans d’obtenir une restructuration de dette Belgique, à moins qu’il n’ait un bien immobilier à valeur assez conséquente à mettre en garantie.
D’autres éléments comme le comportement bancaire, le type de crédit à racheter, etc., peuvent justifier la qualité de l’emprunteur ainsi que son sérieux. Si les mensualités des crédits à racheter n’étaient pas régulièrement payées, il y aurait de fortes chances que l’organisme financier doute du sérieux du débiteur et lui refuse l’octroi. Le regard ne sera pas différent lorsqu’il s’agira des demandes de regroupement de crédit Belgique portant sur des dettes de jeu.
Secundo, les banques ou les organismes prêteurs sont convaincus que, même en cas de non-paiement, ils peuvent toujours obtenir le remboursement de la créance. C’est pourquoi les crédits à racheter doivent présenter au moins un élément garanti par une hypothèque. Ou mieux, le demandeur doit être propriétaire d’un bien immobilier qu’il peut mettre en garantie. Et en cas d’insolvabilité, le prêteur pourrait mettre en œuvre son droit de créancier hypothécaire. À retenir qu’il existe différents types de rachat de crédit.
Les types de restructuration de dette Belgique
Il existe deux différents types de rachat de crédit : le regroupement de crédit hypothécaire et le regroupement de crédit à la consommation.
Regroupement de crédit hypothécaire
On parle de regroupement de crédit hypothécaire lorsque l’un des crédits à regrouper est hypothécaire. C’est-à-dire que ce crédit a été obtenu pour financer l’acquisition d’un bien immobilier, refinancer un prêt hypothécaire existant ou des travaux complémentaires. Le rachat de crédit est donc garanti par cet immeuble. Il peut s’agir également d’un seul crédit hypothécaire en cours. Enfin, la possibilité est donnée au souscripteur de bénéficier de crédits supplémentaires sur le regroupement de crédit Belgique. C’est donc une très belle occasion pour lui d’achever ses travaux qui peinent à avancer depuis un long moment ou de financer un nouveau projet.
Regroupement de crédit à la consommation
Il concerne les crédits à la consommation ou les crédits à tempérament :
- Les crédits personnels ;
- Les crédits travaux ;
- Les prêts automobiles ;
- Les crédits trésorerie ;
- Les prêts renouvelables, etc.
Ils peuvent être réunis seuls ou avec un ou plusieurs prêts immobiliers à condition que ceux-ci ne dépassent pas les 60% du montant total. Contrairement au crédit hypothécaire qui peut s’étendre sur de longues durées, la restructuration de dette à la consommation est de courte durée.
Comment obtenir un regroupement de crédit Belgique ?
Pour souscrire une restructuration de dette, il faut formuler une demande auprès d’un organisme belge de rachat de crédit de son choix. On peut en trouver un aussi bien dans sa localité que sur le web.
Quelques organismes de regroupement de crédit en Belgique
Il y a pas mal d’organismes financiers à qui vous pouvez vous adresser en Belgique pour obtenir le regroupement de crédit. Parmi ceux-ci, à titre indicatif, nous vous recommandons :
- Finday (regroupement de crédit hypothécaire avec un TAEG de 1,70%) ;
- Credafin (regroupement de crédit hypothécaire avec un TAEG de1,90%) ;
- Gway (rachat de crédit hypothécaire avec un TAEG de 2,25%) ;
- Aurelio-Cigna (regroupement de crédit hypothécaire avec un TAEG de 2,84%), etc.
Simulation de rachat de crédit
Il est recommandé à toute personne désirant introduire un dossier de regroupement de crédit Belgique d’évaluer l’étendue de son projet à travers un simulateur de rachat de crédit. C’est un exercice de quelques minutes qui consiste à fournir certaines informations concernant les crédits à faire racheter. L’outil évalue le projet et donne le coût total de l’opération ainsi que la mensualité à verser. L’usage de l’outil est gratuit, illimité et sans engagement. Et il y en a une multitude sur Internet. Explorez-les à votre gré afin d’en choisir celui qui est le plus adéquat et adapté à vos attentes.
Demande de rachat de crédit
Tout comme la simulation, la demande de restructuration de dette Belgique peut être introduite en ligne. À cette fin, un formulaire d’inscription est mis à la disposition de l’utilisateur. Une fois validé, un conseiller prend en charge l’étude du dossier. Il recontacte ensuite le souscripteur pour un rendez-vous. Par ailleurs, la constitution du dossier requiert certains documents administratifs, notamment ceux ayant trait à l’identité du souscripteur, l’immeuble à mettre en garantie, etc.